Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Ce que nous voulons !

Pour un Programme Populaire et Partagé !

http://www.pcf.fr/sites/default/files/imagecache/preview/bandeau_ppp_site_0.png

PCF-TV

Web-TV du PCF

Place au Peuple 2012
3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 11:10

Les partis et organisations de gauche réclament dans une “déclaration commune” publiée le 3 février, un « changement de cap » de la part de Nicolas Sarkozy et apportent « leur soutien aux mobilisations » actuelles.

Communiqué commun


Les partis et organisations de gauche réunies mardi 3 février à Paris se félicitent de l’ampleur du succès de la mobilisation sociale du 29 janvier.


L’importance des grèves et des manifestations qui ont marqué cette journée témoigne d’un rejet massif des choix politiques du gouvernement Sarkozy-Fillon, marque une colère légitime face aux vagues actuelles de licenciements et de suppressions d’emplois, dans le privé comme dans le public, confirme l’exigence d’un « bouclier social » à l’opposé du « bouclier fiscal » pour les plus riches, et de mesures en faveur de l’emploi et des salaires à l’opposé des choix du gouvernement qui distribue sans contrepartie des milliards aux banques et aux grandes groupes.


Le message de la journée du 29 janvier est clair. Ce n’est pas au monde du travail, à la population de payer la crise. Contrairement à ce que vient d’affirmer le Premier ministre, la journée du 29 janvier porte clairement la demande d’un changement de cap, notamment sur les questions des salaires, de l’emploi, des services publics. Nicolas Sarkozy et le gouvernement ne peuvent se dérober à ces exigences et ignorer les grands axes avancés dans la plate-forme syndicale unitaire.


Plus largement, un très grand débat public est nécessaire dans le pays sur les mesures alternatives aux choix politiques actuels qui permettront de s’attaquer réellement et efficacement aux racines de cette crise et d’imposer une autre répartition des richesses et un autre type de développement.


Les organisations réunies apportent leur soutien aux mobilisations qui se développent ces jours ci dans l’éducation, dans l’enseignement supérieur et la recherche où le gouvernement doit revenir sur la loi Pécresse et ses décrets d’application, dans les hôpitaux et la santé, où l’inscription à l’ordre du jour du Parlement le 10 février prochain du projet de loi Bachelot doit être annulée. Parce que ces textes représentent des attaques inacceptables contre les services publics, elles appellent à prendre et à soutenir dans les jours qui viennent les initiatives nécessaires pour les combattre.


Elles s’alarment dans ce contexte des atteintes répétées aux libertés publiques et syndicales, qui en cherchant à intimider les mouvements de contestation, conduisent à une inquiétante dérive autoritaire du pouvoir qu’elles ne peuvent accepter.


Enfin, elles tiennent à apporter leur soutien à l’imposant mouvement social qui mobilise depuis plusieurs semaines la Guadeloupe, et demandent au gouvernement d’engager au plus vite de réelles négociations sur les revendications exprimées, notamment sur la question du pouvoir d’achat.


Les organisations réunies ont convenu de se revoir après l’intervention télévisée présidentielle du 5 février et la réunion des organisations syndicales prévue le 9 février pour décider de la suite de leur démarche commune en appui du mouvement social.


|Les Alternatifs, la Coordination nationale des collectifs unitaires (CNCU), Lutte Ouvrière, le NPA, le PCF, le PCOF, le Parti de gauche, le PS, Alternative Démocratie Socialisme (ADS), Alter-Ekolo|

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 11:06
Déclaration de la majorité municipale PC – PS – MRC au Conseil Municipal du 1er Octobre 2008

Soutien à Daniel Davisse, Maire

Bien que devancé par plus de 1.200 voix aux élections municipales, mais n’acceptant pas l’expression du suffrage universel, Monsieur de Lacoste avait décidé d’engager un recours devant le Tribunal Administratif de Melun.

Nous venons d’avoir connaissance du jugement du Tribunal rendu mardi 30/09. Nous n’en avons pas encore reçu la notification qui fait courir les délais de recours mais d’ores et déjà plusieurs commentaires s’imposent.

Monsieur de Lacoste a échoué dans sa tentative de remettre en cause le choix des électeurs et de faire main basse sur la ville.

Le résultat des élections n’est pas remis en cause.

Le Tribunal n’en a pas moins invalidé l’élection de Daniel Davisse par des calculs mathématiques réintégrant dans les frais de campagne une partie des cérémonies de vœux.

Nous le contestons tant dans la motivation retenue, que pour les chiffres pris en compte, et pour les conséquences - au regard de l’élection du Maire.

La majorité municipale tient à témoigner à Daniel Davisse, notre maire, sa confiance et sa solidarité traduisant l’opinion des Choisyens.

Le Maire et son équipe municipale continueront à être au service des Choisyens.
Partager cet article
Repost0
12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 17:46

Dans le cadre des débats de l'été à la maison des communistes de Choisy-le-Roi a eu lieu un débat sur les liens entre syndicalisme et politique.

Introduction au débat :

En mai et juin, les syndicats de salariés défilaient dans la rue contre la réforme des 35h. En juillet, les parlementaires des partis politiques de gauche votaient contre cette même réforme des 35h. Un même combat, des acteurs différents, quels liens entre eux ?

Pourquoi les députés qui un mois plus tard allaient voter contre cette réforme n'ont pas défilés ? Pourquoi la place des partis politiques parlementaires était sur le trottoir à regarder passer la manifestation dans ce combat commun, initié par les uns dans la rue, terminé par les autres à l'assemblée ?

 Par quelques images et quelques définitions, je voudrais évoquer l'état des rapports entre syndicalisme et partis politiques en France.

 Définition d'un syndicat, article L2131-1 du code du travail : Les syndicats professionnels ont exclusivement pour objet l'étude et la défense des droits ainsi que des intérêts matériels et moraux, tant collectifs qu'individuels, des personnes mentionnées dans leurs statuts.

Définition d'un parti politique, article 4 de la constitution : Les partis et groupements politiques concourent à l'expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie.

 Ces définitions correspondent-elles aux besoins actuels ? Peuvent-elles être interprétées plus librement qu'elles ne le sont ? On se souviendra en 2005 de l'intense débat qui a agité la CGT. La CGT devait-elle appelé à voter « NON » au référendum sur la constitution européenne, expression politique s'il en est, au nom de l'intérêt des travailleurs ?

 La charte d'Amiens de 1906 institue l'indépendance des syndicats sur les partis politiques. Pourtant, cette indépendance n'a pas toujours été stricte. La CGT fut longtemps la « courroie de transmission du PCF », période qui a commencé à l'après-guerre et s'est terminée symboliquement en 1999 lorsque Bernard Thibaut démissionne de ses responsabilités nationale au PCF en devenant secrétaire générale de la CGT. Entre temps, en 1981, la CGT appelait à voter Mitterrand au second tour de l'élection présidentielle.

 A contrario, en 2007, le MEDEF s'est positionné en « conseiller des électeurs », et sans nommer explicitement Nicolas Sarkozy a présenté un programme fort proche de celui du candidat de la droite.

 Ailleurs dans le monde, il en va autrement. Aux USA, le plus important syndicat américain soutient officiellement et même financièrement Barack Obama contre Mc Cain. Mais plus encore, si on regarde de plus prêt la « vague de gauche » en Amérique Latine, les syndicats y ont joué un rôle important. L'image « d'ancien métalo » de Lula joue un rôle majeur dans sa popularité. En Bolivie, le MAS (Mouvement pour le Socialisme, Instrument Politique pour la Souveraineté des Peuples) est à la fois le parti au pouvoir et une fédération regroupant en son sein association, syndicats et partis politiques. Un citoyen n'adhère que rarement au MAS, il adhère à un syndicat ou à une association elle-même adhérente du MAS et représenté dans ses instances dirigeantes en tant qu'organisation.

 Alors, quels liens aujourd'hui entre syndicalisme et politique ? Et même plus largement, quelle organisation de l'ensemble du « mouvement social », syndicat, parti politique mais aussi cette part du mouvement associatif qui veut peser sur les choix de société : Le DAL, associations de défenses de l'environnement, APEIS, ATTAC, RESF... (Si le PCF avait été précurseur de l'entrée du mouvement associatif sur ces listes, l'arrivée massive de ce mouvement associatif dans le gouvernement Sarkozy est un élément remarqué, Martin Hirsh et Fadela Amara).

Résumé des débats :
Le modèle du syndicat comme "courroie de transmission" de transmission du politique est pour tous révolu.

Pour autant, des convergeances existent. Les syndicats représentent les salariés dans le monde du travail comme les partis politiques représentent les citoyens dans le monde politique. Mais un salarié est aussi un citoyen et on ne met pas ses opinions politiques dans sa poche en entrant sur son lieu de travail. S'il existe différents syndicats, c'est bien sur différentes orientations (politique ?) en matière de défense des intérêts des salariés. "L'appropriation des moyens de productions par les travailleurs" est une base tout autant pour la CGT que pour le PCF par exemple.

Pourtant, il apparait que de plus en plus de jeunes syndicalistes n'ont pas d'expérience politique marquée et peuvent pour certains manquer de connaissance (de formation ?) politique sur le monde du travail. On peut ainsi assister à des prises de positions de sections locales de syndicats en opposition avec les grands principes défendus par ces mêmes syndicats (favoriser les augmentations de revenus par des primes plutôt qu'une augmentation du salaire de base par exemple).

La montée de l'individualisme dans toute la société, fortement ressentie lors de l'élection présidentielle, se ressent aussi dans le débat syndical où les prises de positions non conforme à cet individualisme ne sont souvent pas reprises par les adhérents. On assiste aussi à une montée du corporatisme : autrefois, une grève dans des "bastions syndicaux" bénéficiait à toute la branche. Aujourd'hui, les grèves et accords locaux ne bénéficient plus qu'à l'entreprise concerné, il n'y a plus de convergeance au niveau d'une branche et encore moins au niveau confédéral.

Pour autant, le syndicalisme peut être un formidable point d'appuis pour parler de politique. En s'ancrant "dans le réel", il peut paraître aujourd'hui plus crédible que le discours purement politique. Les propositions syndicales peuvent ainsi être reprises par les partis politiques. Dans les pays Anglo-Saxons, les syndicats s'organisent aussi en "lobby" pour faire pression sur les partis politiques "de gauche".

D'autres part, des interventions politiques dans le champ du monde du travail, comme par exemple le soutien de la mairie de Choisy aux travailleurs de l'imprimerie nationale sont reconnus comme une véritable force.



Partager cet article
Repost0
6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 22:30
Juillet et août ne signifie pas inactivité pour les militants communistes de Choisy-le-Roi. Durant toute cette période, nous ferons signer la pétition "pour que ça change", et nous diffuserons également les vignettes de la fête de l'humanité. Mais l'été sera également riche en débat :

Tous les mardis, de 18h30 à 19h30 auront lieu les "rendez-vous de la vignette". Autour d'un apéritif convivial, il s'agira de faire le point sur la diffusion de la vignette, la préparation de la fête et de débattre sur un thème préparé par l'un des participants, afin de préparer le congrès du PCF de la fin de l'année. Notamment, deux dates sont déjà l'ordre du jour :

Le 22 juillet aura lieu un débat sur le projet communiste,
Le 19 août aura lieu un débat sur le parti lui même, son organisation et son devenir.

Les débats auront lieu à la section P.C.F de Choisy, 6 av. Anatole France, - Allée de Bretagne, 94 600 Choisy-le-Roi et tous sont les bienvenus, militants, sympathisants ou curieux.

A bientôt !
Partager cet article
Repost0
6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 21:59
Depuis la mi-juin, les militants communistes de Choisy et de toutes la France font signer une pétition "pour que ça change", exprimant le ras-le-bol d'un nombre croissant de français contre la politique du gouvernement.

Sur notre ville de Choisy-le-Roi, prêt d'une dizaine de rencontres ont eu lieu, devant les supermarchés de la ville (Franprix, Casino, Lidl), devant les marchés (Gondoles, Centre) et même devant l'usine Renault. D'autres rencontres auront lieu tout l'été.

A chaque fois, la pétition est bien acceuillie, et de mémoire de militant "on a rarement vu ça". Sur notre ville, il est indéniable que l'exaspération face à la politique gouvernementale augmente. On signe en nombre, prêt de 650 signatures ont déjà été receuillies à Choisy, dont 130 en guère plus d'une heure au Casino, mecredi 2 juillet.

Mais au delà d'une simple signature, souvent le débat s'engage. Le pouvoir d'achat est bien sûr au centre des préocupations, mais aussi le recul social sur tous les sujets : retraite, sécurité sociale, code du travail, durée du travail, etc... Et toujours une même question : comment faire pour que ça change ?

Bien sûr, une pétition ne changera pas tout. Mais elle contribue à faire monter la pression sur le gouvernement Sarkozy, tout comme les différentes manifestations ou les batailles parlementaires. Cette pression est loin d'être inutile : La semaine dernière, un directeur de la sécurité sociale émettait l'idée de diminuer les remboursements des médicaments "de conforts" pour les malades de longues durées (Sida, Cancer, etc...). Devant l'ampleur des protestations, il a retiré sa proposition. Le gouvernement Sarkozy est ainsi un adepte des "ballons d'essais", on se souviendra ainsi des propositions du rapport Attali. Plus la pression augmente, plus les ballons d'essais se dégonfleront vite.

Il est urgent de signer "pour que ça change".
Partager cet article
Repost0
18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 22:33
Voeu du conseil municipal présenté par les groupes "communiste et partenaires" et "socialiste et républicains" concernant SANOFI AVENTIS.

Le 1er avril 2008, la direction de SANOFI AVENTIS a annoncé un plan de reconversion du site de production de Vitry sur Seine, site jouxtant notre commune de Choisy le Roi.

Ce plan prévoit le transfert de la quasi totalité des productions actuelles vers la province, entraînant la suppression de plusieurs centaines d'emplois.

Les salariés soutenus par leurs organisations syndicales sont mobilisés pour exiger des garanties collectives pour l'avenir de chacun, en termes de reclassement, de rémunération, de statut, de formation en vue d'une réorientation professionnelle et de mesures pour les plus âgés, mais aussi en termes d'avenir du site et des conséquences pour les sous-traitants et les salariés précaires.

Considérant l'impact social de cette restructuration, à une époque où les différents comptes sociaux ont besoin de ressources nouvelles ;

Considérant les conséquences sur un bassin d'emploi déjà fragilisé par un contexte économique difficile ;

Considérant l'importance stratégique de l'industrie pharmaceutique pour le développement économique du Val-de-Marne dans le cadre notamment du pôle de compétitivité MEDICEN et donc la nécessité de maintenir une activité diversifiée de recherche et de production dans notre département ;

Considérant la place centrale de Sanofi Aventis dans l'opération d'intérêt national Seine Amont, et les contradictions entre cette restructuration et le protocole régissant cette opération d'intérêt national qui affirme des objectifs ambitieux en terme de développement économique sur ce territoire ;

Considérant le bénéfice réalisé en 2006 et en 2007 par ce groupe, plus de 7 milliards d'euros pour chacun de ces deux exercices ;

Considérant que les problèmes de pollution de ce site sont uniquement liés à des sous-investissements chroniques pendant des années ;

 

Considérant le rôle important joué par l'état dans la fusion Sanofi Aventis, notamment par son ministre des finances de l'époque Nicolas Sarkozy,

 

-Le conseil municipal :

Soutient totalement les demandes légitimes des salariés et de leurs organisations syndicales quant au maintien de l'ensemble des emplois sur le site.

Demande à la direction de Sanofi Aventis l'annulation de cette décision et l'ouverture d'une large concertation, avec les salariés, leurs organisations syndicales, les élus des communes concernées.

Rappelle à l'Etat les engagements pris dans le cadre de l'opération d'intérêt national Seine-Amont, cette restructuration et les conséquences qui en découlent étant contraires aux objectifs affichés.

Fait et délibéré en séance, le 8 avril 2008

Partager cet article
Repost0
18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 22:26
Alors que les élections récentes ont clairement sanctionné la politique du gouvernement, celui-ci maintient un cap en opposition avec les valeurs qui ont conduit les choisyen(nes) à renouveler leur confiance à la liste d’Union et de Rassemblement des Forces de Gauche et de Progrès conduite par Daniel Davisse et notamment la défense de services publics de qualité.

 

La réduction du nombre de fonctionnaires se traduira dans le Val de Marne par la suppression de 260 postes d’enseignants en lycées et collèges à la rentrée 2008. Sans tenir compte des dernières élections le premier ministre annonce de nouvelles mesures d’économie qui laissent présager le non remplacement de 20 000 enseignants en 2009 avec les conséquences que l’on peut imaginer en terme de fermetures de classes, ou de disparitions d’options et de langues.

 

De plus, les préconisations du rapport Pochard sur l’évolution du métier d’enseignant contribueraient à rendre plus difficile encore l’exercice de cette profession. Ainsi, on peut se demander comment un chef d’établissement pourra évaluer pédagogiquement la qualité d’un enseignement d’une discipline qu’il ne maîtrise pas, ou comment former des enseignants « bivalents » (enseignant deux disciplines). Mais plus encore, l’autonomie des lycées irait à l’encontre des valeurs d’équité entre les territoires, défendues durant notre campagne électorale.

 

C’est pourquoi nous, élus du groupe communistes et partenaires de Choisy-le-Roi, apportons tout notre soutien aux enseignants et lycéens en lutte contre les réductions de postes et contre le rapport Pochard ; la mise en œuvre de ces politiques gouvernementales auraient de graves répercussions pour les choisyen(nes) :

 

Ø  Les réductions de postes et d'heures dans nos collèges et lycées auront des impacts significatifs sur les conditions d'études de nos élèves et d'enseignements de leurs professeurs ; nous nous déclarons solidaires des communes concernées et disons notre inquiétude pour l’avenir des enseignants et élèves de Choisy-le-Roi si cette politique venait à se poursuivre en 2009 et au-delà.

Ø L’autonomie des lycées aggraverait les inégalités déjà existantes entre les différents lycées du département, conduisant ainsi un peu plus à la « ghettoïsation » dans l’éducation nationale, avec d’un côté des lycées d’excellence pour les plus favorisés, de l’autre côté des lycées se contentant d’enseigner un « socle commun » minimum pour les moins aisés.

Ø La lutte pour le pouvoir d’achat et contre la précarisation de chaque choisyen(ne) passe également par la défense des conditions de travail de tous. C’est pourquoi, nous soutenons les enseignants dans la défense de leur statut et des conditions d’exercice de leur métier.

 

Si l’éducation était la priorité du gouvernement, comme le président de la république l’avait pourtant annoncé le 8 octobre, la politique serait de maintenir constant le nombre d’enseignants, permettant ainsi, par la légère baisse de la démographie dans le second degré, une amélioration sensible des conditions d’étude et d’enseignement

Partager cet article
Repost0

Agenda

Twitter

Blog des élus communistes

Adhesion

adhesion