Lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP)
présentera la demande de reconnaissance de l’État de Palestine dans les frontières de 1967, avec Jérusalem–Est comme capitale. Des manifestations de soutien à l’initiative palestinienne se sont
déroulées partout en France et dans le monde. A Paris, et pour répondre à l’appel des Palestiniens à la solidarité, le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et
Israéliens a organisé un rassemblement auquel le PCF (Parti communiste français) et le MJCF (Mouvement des jeunes communistes de France) ont participé.
Lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP)
présentera la demande de reconnaissance de l’État de Palestine dans les frontières de 1967, avec Jérusalem–Est comme capitale. Des manifestations de soutien à l’initiative palestinienne se sont
déroulées partout en France et dans le monde. A Paris, et pour répondre à l’appel des Palestiniens à la solidarité, le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et
Israéliens a organisé un rassemblement auquel le PCF (Parti communiste français) et le MJCF (Mouvement des jeunes communistes de France) ont participé.
Lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP)
présentera la demande de reconnaissance de l’État de Palestine dans les frontières de 1967, avec Jérusalem–Est comme capitale. Des manifestations de soutien à l’initiative palestinienne se sont
déroulées partout en France et dans le monde. A Paris, et pour répondre à l’appel des Palestiniens à la solidarité, le Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et
Israéliens a organisé un rassemblement auquel le PCF (Parti communiste français) et le MJCF (Mouvement des jeunes communistes de France) ont participé.
Michel Besson, acteur de renommé mondial du commerce équitable, a été
arrêté par les autorités israéliennes à sa descente d’avion lundi matin à Tel Aviv. Il a été enfermé au centre de rétention de l’aéroport, sans aucune raison valable qui pourrait lui être
opposée. Comme tous les ans depuis près de 10 ans, il se rendait en Palestine pour les échanges de sa coopérative avec des producteurs palestiniens. Il préparait la participation de la
coopérative de femmes de la Ville d'Aizaria à la prochaine édition de la Ferme géante 2011 organisée par la Ville de Nanterre en novembre prochain.
Michel Besson est un acteur reconnu au niveau international du commerce équitable avec l’Amérique Latine, l’Afrique et l’Asie, animateur de la plateforme française de commerce équitable Minga,
coopérateur et responsable de la filière économique avec la Palestine au sein de la coopérative Andines engagée depuis 25 ans dans des démarches de solidarité et d’équité économique.
Les autorités israéliennes ne pouvaient ignorer la renommée et les activités solidaires de Michel Besson. C’est un pas de plus d’Israël dans l’escalade de l’enfermement économique des
palestiniens.
Le PCF exige sa libération afin qu’il puisse reprendre ses activités solidaires et équitables auprès des producteurs palestiniens qui ont noué de nombreux liens avec des producteurs français,
dans l’objectif d’offrir aux consommateurs de notre pays des produits de très haute qualité.
Le Parti communiste français exprime son indignation devant la décision des Etats-Unis d'opposer aux
Nations-Unies son veto à une résolution arabe contre la colonisation en Palestine. Une telle décision discrédite l'administration Obama qui bafoue ainsi l'esprit et la lettre des résolutions
de l'ONU sur la question de Palestine. Le PCF réaffirme sa solidarité avec le peuple palestinien et rappelle que la paix pour tous et la justice au Proche-Orient passent par
l'application du droit international. La France et l'Union européenne doivent se saisir de cette situation inacceptable pour réévaluer d'urgence leur politique et prendre les initiatives qui
s'imposent pour pouvoir enfin contraindre Israël à appliquer les résolutions de l'ONU. La France doit exiger que des sanctions soient prises contre Israël tant que ce pays continuera de
bafouer les régles internationales. Elle doit reconnaître l'Etat palestinien, proclamé en 1988, comme l'ont déjà fait une centaine de pays dans le monde.
Il ne faut pas seulement que « cesse » la colonisation israélienne en territoires palestiniens occupés, comme l’a demandé aujourd’hui Nicolas Sarkozy.
En rester là ne pourra que contribuer à l’échec qui se dessine dès le début. Cette condition minimale, à elle seule, ne pourra jamais assurer des avancées réelles dans une
négociation devant aboutir à un règlement politique et à l’édification d’un État palestinien indépendant comme l’engagement en a été pris.
La France, les Européens, les membres permanents du Conseil de sécurité doivent prendre leurs responsabilités et exiger d’Israël l’application des résolutions des Nations unies, le respect du
droit international, des Conventions humanitaires et des accords conclus. Il y a urgence de poser les questions essentielles, de sortir de l’impasse politique actuelle et de la situation
dramatique et insupportable imposée au peuple palestinien.
Des actes concrets doivent être effectués immédiatement pour redonner un espoir à une vraie négociation : la levée du blocus de Gaza et la libération des prisonniers notamment.
Les négociations directes engagées sous l’égide de Barack Obama n’aboutiront jamais si les exigences ne se situent pas à ce niveau, avec la volonté réelle de construire une paix dans la justice,
le droit et une sécurité partagée.
Le monde entier a ressenti une profonde indignation devant l’attaque meurtrière de l’armée israélienne contre la flottille de 6 navires de matériels humanitaire destiné à Gaza. Il est
intolérable que le gouvernement israélien puisse ainsi utiliser la force armée au prix d’un véritable massacre avec pour seul objectif de faire respecter quoiqu’il en coûte un blocus illégal et
illégitime. En ces heures dramatiques la solidarité avec le peuple palestinien doit se marquer avec force. L'heure est aussi à la réflexion, au débat et à l'action pour une paix juste au
Proche-Orient, pour, aux côtés de l'État d'Israël, un État palestinien indépendant dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est pour capitale .
Palestine : l’exigence d’une politique de la contrainte
Israël est prêt à tout pour maintenir sur les Palestiniens la poigne de fer de l’occupation militaire et le blocus illégal et illégitime de Gaza qui inflige à 1,5 million de personnes une
punition collective dont le principe même - au-delà des souffrances sociales imposées - est strictement interdit par le droit international. L’agression innommable contre la «
flottille humanitaire » fut en soi un acte de piraterie maritime et un nouveau crime. Une fois encore, les dirigeants israéliens se mettent en dehors des valeurs et des pratiques les plus
communément admises dans les relations internationales.
Trop, c’est trop
Cette nouvelle et grave exaction a suscité un tollé international. Elle a aussi fait éclater une contradiction devenue accablante entre, d’une part, les discours officiels tenus par la France,
par ses partenaires européens et par le Quartet (États-Unis, UE, Russie, ONU) et, d’autre part, la politique réellement menée par les principales puissances. Les uns et les autres parlent d’un
État palestinien à édifier à côté de l'État d’Israël, ce qui doit constituer le cœur d’une solution juste, mais les actes contredisent totalement le discours. Israël est admis à l’OCDE…
Netanyahou est reçu à Paris avec tous les honneurs... Les Européens décident de rehausser le statut d’Israël dans le cadre de l’accord d’association UE/Israël… La coopération
franco-israélienne sur la défense et les techniques militaires vient d'être elle aussi rehaussée... On ferme consciencieusement les yeux sur la force de frappe nucléaire israélienne, alors que la
non-prolifération, la sécurité et le désarmement nucléaire - en particulier au Moyen-Orient - sont au cœur des débats internationaux... sans oublier l'inauguration à Paris d'une Promenade Ben
Gourion au mépris des crimes commis par cet homme contre le peuple palestinien au cours de l'histoire.
En vérité, la duplicité est la règle. On a constaté jusqu’ici la complaisance des principales puissances devant la poursuite de la colonisation et le maintien du siège de Gaza.
L'accord UE/Israël doit être suspendu
Va-t-on enfin cesser de récompenser l’agresseur ? Va-t-on enfin cesser d’ajouter la complicité à la démission ? Ce sont ces questions qui doivent être maintenant posées - ou imposées - notamment
aux gouvernants français et européens.
Il n’est pas sûr, évidemment, que ces derniers adoptent des réponses plus adaptées comme en témoigne cet affligeant cri du cœur de Bernard Kouchner à l’Assemblée le 24 mars dernier : « Avez-vous
une idée sur ce que nous pourrions opposer pour être efficaces ? Nous n’en avons pas beaucoup… » Si M. Kouchner n’a pas d’idée… pourquoi est-il encore ministre ?
Il faut des idées et surtout une volonté pour que la solidarité s’affirme en faveur d’un règlement politique juste et pour que les politiques française et européenne retrouvent au moins une
certaine dignité. Est-ce trop demander ?
La France, l’Union européenne, l’ensemble des membres permanents du Conseil de sécurité doivent assumer leur responsabilité et arrêter de protéger l’occupant, celui qui colonise et bafoue les
résolutions des Nations unies. L’exigence est à l’adoption d’une politique de la contrainte. Des sanctions lourdes doivent être imposées contre Israël tant que cet État ne se conformera pas au
droit international. L’accord UE/Israël doit être immédiatement suspendu, en application de la résolution votée par le Parlement européen en avril 2002. Les investissements et les échanges qui
nourrissent la colonisation doivent être stoppés ou annulés. L’obligation d’une levée sans condition du blocus de Gaza doit s’exprimer avec force. Une enquête internationale indépendante doit
être engagée sur l’agression israélienne contre la flottille humanitaire. Les dispositions du rapport Goldstone, adopté par l’Assemblée générale de l’ONU après l’opération « Plomb durci » et les
crimes de guerre commis par Israël à Gaza, doivent être appliquées pour que ces crimes de guerre ne passent pas, comme le reste, par pertes et profits.
La politique d’Israël est un désastre, son impunité est une honte. Ses dirigeants sont sur la sellette. L’inacceptable ne doit plus être toléré. L’écrivant libanais Elias Khoury a raison de dire
que « la cause palestinienne est un indice de la moralité humaine ».
Il est vraiment temps d'agir. Le Parti communiste français est décidé, plus que jamais, à prendre les initiatives de réflexion, de débat et d'actions et à participer à toutes
les initiatives unitaires qui iront dans ce sens.
Le PCF était au rassemblement organisé ce soir contre l'aggression israélienne sur la flottille de la Liberté.
Pierre Laurent, n°2 du PCF et Patrick le Hyaric, directeur du journal l'Humanité et député européen du Front de Gauche étaient présent, ainsi que de nombreux conseillers régionaux et autres élus,
et bien sûr des militants et élus choisyens.
La direction du parti communiste d’Israël félicite de sa victoire
l’armée de pirates Israélienne
Manifestations en Israël – aujourd’hui et dans le week-end suivant
Le Parti communiste d’Israël , MK Mohammad Barakeh, le président de Hadash (le Front Démocratique pour la Paix et l’Égalité) “a félicité” le Premier ministre israélien et le ministre de la
Défense Nationale pour “la victoire brillante de leur armée de pirates sur la flotte citoyenne de la liberté”. traduction par Danielle Bleitrach pour changement de société.
“Les crimes de ce gouvernement de pirates asssassinant certains des participants de la flotille placent le gouvernement horsde la loi internationale et humaine. Les tyrans comme Bibi
et Barak se trouveront en endroit approprié dans les déchets peut d’histoire”, a dit MK Barakeh.
Une manifestation est organisée par la Coalition israélienne contre le siège à Gaza qui soutient la flottille aura lieu aujourd’hui après-midi, (lundi, le 31 mai) à 16h00, devant le port
Ashdod, la Porte No . “Nous devrons là exprimer notre solidarité avec la flottille. Et appellera pour casser le siège et ouvriront les portes de Gaza”, a dit un activiste de la coalition.
Samedi (le 5 juin) il y aura à nouveau une auttre manifestation dans le Centre de Tel-Aviv organisée par le C.P. d’Israël, Hadash, la Paix Maintenant, Yesh Gvul, Meretz, le Flot Shalom, des
Combattants(des Avions de chasse) pour Peace, des Médecins pour des Droits de l’homme et d’autres, à la veille du 43 anniversaire de l’occupation des territoires palestiniens.
Deux Autres manifestations auront lieu vendredi prochain (le 4 juin) à l’ouest Jérusalem par des Femmes dans Noir et à l’est Jérusalem par la paix et des activistes de communistes contre les
colons dans le Scheik palestinien Jarrah. Samedi sont tombés de nouveaux avis d’expulsion à deux familles palestiniennes dans le Scheik Jarrah le voisinage, un centre permanent de lutte pour les
résidants arabes et les activistes de paix israéliens contre des colons.
Je tiens à exprimer ma condamnation et mon indignation devant l’attaque meurtrière de l’armée israélienne contre la flottille de 6 navires de matériels humanitaire destiné à
Gaza. Il est intolérable que le gouvernement israélien puisse ainsi utiliser la force armée au prix d’un véritable massacre avec pour seul objectif de faire respecter quoiqu’il en coûte
un blocus illégal et illégitime. En ces heures dramatiques la solidarité avec le peuple palestinien doit se marquer avec force.
Une fois encore Israël se met en dehors des règles les plus communément admises dans les relations internationales. Cette attaque injustifiable
et consternante suscite une forte émotion. Elle doit conduire les autorités françaises et leurs partenaires européens à rappeler fermement Israël au respect du droit international et à prendre
les initiatives qui s’imposent.
Le blocus de Gaza doit être immédiatement levé, à défaut des sanctions internationales lourdes devraient être prises, notamment la suspension de l’accord UE/Israël.
La France doit exiger la réunion d’urgence du Conseil de sécurité afin d’ examiner la grave situation ainsi créée et pour décider collectivement des mesures
nécessaires pour contraindre Israël à appliquer les résolutions de l’ONU.