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Place au Peuple 2012
18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 11:38

Meeting1 Le 10 janvier, à Paris, au Palais des Congrès, les organisations du Front de Gauche : PCF, PG, GU, la FASE, les Alternatifs, le M'PEP, République et Socialisme, le PCOF lanceront la campagne des régionales. Venez nombreux !!!

De Choisy le Roi, un car est prévu à 13h, départ de la Demi-Lune, devant l'ancienne mairie.

 

Meeting2!
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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 11:29

FdG-Regionale.pngNos organisations, celles d’une gauche de transformation sociale, affirment leur volonté de mener campagne ensemble pour les élections régionales de 2010.


Avec le Front de Gauche (Parti Communiste Français, Parti de Gauche, Gauche Unitaire) avec les Alternatifs, République et Socialisme, le Forum social des quartiers populaire, La Fédération, le M’Pep, le Pcof nous comptons faire entendre fortement une autre voie à gauche.

 

Ensemble, pour des régions à gauche, solidaires, écologiques et citoyennes


Nos organisations, celles d’une gauche de transformation sociale, affirment leur volonté de mener campagne ensemble pour les élections régionales de 2010. Avec le Front de Gauche (Parti Communiste Français, Parti de Gauche, Gauche Unitaire) avec les Alternatifs, République et Socialisme, le Forum social des quartiers populaire, La Fédération, le M’Pep, le Pcof nous comptons faire entendre fortement une autre voie à gauche.


Ce rassemblement, en construction, se veut ouvert, nationalement et régionalement, à toutes celles et tous ceux qui, à gauche, dans le mouvement social dans le monde du travail et de la culture, souhaitent élaborer et porter avec nous un programme qui réponde aux besoins de la population.


C’est urgent ! Les difficultés s’accumulent : davantage de licenciements, de précarité, de pauvreté, et en même temps moins de services publics, moins de pouvoir d’achat moins d’enseignement et de culture ! Cette situation devient insupportable, notamment dans les quartiers les plus populaires. L’environnement est sacrifié sur l’autel du profit. Les ravages de la crise sont amplifiés par la politique impulsée par Nicolas Sarkozy et la droite. Avec eux c’est toujours plus pour les riches, toujours moins pour l’ensemble du peuple. Et le président sème la division en puisant des idées nauséabondes dans l’arsenal de l’extrême droite qui du coup, relève la tête.


Face à cette offensive redoublée, notre peuple, les salarié-e-s et les plus précaires résistent ; ils refusent de payer la crise. A la division, au chacun pour soi, ils opposent la lutte et la solidarité. Ils souhaitent un débouché politique à leurs luttes.


C’est pourquoi les listes qui nous rassembleront pour ces élections régionales, répondront à trois objectifs indissociables : changer les rapports de force à gauche en faveur de la ligne de transformation sociale et écologique ; battre la droite, empêcher Nicolas Sarkozy et l’UMP de reconquérir des régions pour en faire des relais de leur politique de régression sociale, autoritaire, basée sur la peur ; construire des majorités solidement ancrée à gauche, portant des projets vraiment alternatifs à la logique du système en crise, un projet de transformation sociale et écologique que nous voulons porter jusque dans les exécutifs, à l’exclusion de tout accord avec le Modem, si les conditions de ces avancées en sont réalisées. Il s’agit de la possibilité de mettre en œuvre les points essentiels de notre programme et du rapport de force permettant effectivement de les appliquer.


Nous voulons faire des régions des points d’appui pour développer une politique au service des hommes, des femmes, des jeunes, de tous ceux qui travaillent et vivent ici.


Une politique en faveur de l’emploi, respectueuse des salariés, de leurs droits, favorisant l’extension de ces droits. Une politique qui donne la priorité aux services publics. Une politique qui fasse des citoyennes et des citoyens, dans leur diversité, les acteurs de la transformation de nos régions par un développement de toutes les formes de démocratie. Une politique exigeante en matière écologique. Une politique qui reconstruit le tissu social, à la ville et dans les campagnes.


Ce programme devra être porté porté par des listes unitaires dans les régions, des listes rassemblant nos organisations et ouvertes aux actrices et acteurs du mouvement social qui le souhaitent.


Nous vous donnons rendez-vous le 10 janvier, pour un meeting national commun.


Le front de Gauche : Parti Communiste français, Parti de Gauche, Gauche Unitaire et Les Alternatifs, République et Socialisme, La FASE, le M’PEP, le Pcof.

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5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 12:31

« L’argent pour l’argent », c’est aujourd’hui la seule loi du système.

Dans cette logique, ces 5 dernières années, le gouvernement a persisté dans sa volonté de transférer aux collectivités locales des pans entiers de ses compétences et de ses responsabilités, tout en les privant progressivement de leur autonomie financière et budgétaire.

Une orientation accentuée avec les réponses apportées face à la crise : plus de 120 milliards d’euros ont été accordés aux banques et grandes entreprises, sans aucune contrepartie chiffrée en matière d’emplois, de formations, d’évolutions salariales et en laissant les plein-pouvoirs aux actionnaires privés sur l’utilisation de cet argent.

Le gouvernement veut supprimer la taxe professionnelle, seul impôt français sur le capital des entreprises, qui représente 50% des ressources fiscales des collectivités. Ce nouveau cadeau aux capitalistes vient s’ajouter à une longue liste dont les 29 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales patronales ou bien encore le bouclier fiscal.

L’objectif est de réduire toujours plus les prélèvements publics et sociaux sur les grandes entreprises et les fortunes afin de dégager toujours plus de valeur ajoutée disponible pour les prélèvements financiers du capital. A la clef il y a le rationnement de l’offre de services publics, locaux notamment, de nouvelles privatisations et l’augmentation de la pression fiscale sur les populations.

Pour rompre avec cette logique, pour rendre l’argent utile, il faut mettre au cœur de la politique régionale deux principes :

 Rendre l’utilisation de l’Argent socialement utile et écologiquement efficace.

Aujourd’hui des milliards sont utilisés pour préserver les intérêts privés et améliorer la rentabilité financière des grands groupes. Cadeaux aux banques, exonérations fiscales, bouclier fiscal, démantèlement des services publics et marchandisation à outrance sont la priorité de ce gouvernement qui n’a que faire du coût social, et environnemental.

En toutes circonstances et à tous les niveaux les financements des Régions doivent viser la réduction des inégalités et le soutien aux investissements en terme d’emploi et de formation de qualité, de réponses aux besoins sociaux et de préservation de l’environnement.

La crise rend plus urgent que jamais la systématisation des financements sur de tels critères. Par exemple la région peut conditionner ses aides aux collectivités, aux villes notamment, en fonction de leurs efforts pour développer le logement social.

 Le contrôle des Citoyen-nes, des salarié-es

Dans la définition des objectifs fixés quand à l’utilisation de l’argent public et dans le contrôle de cette utilisation les citoyens doivent être totalement partie prenante. Partie prenante au sein même de l’entreprise par la mise en œuvre de droit d’intervention nouvelle des salariés, partie prenante au plan Régional avec la mise en place de l’Assemblée Participative des Citoyens, des citoyennes et des acteurs sociaux.

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5 décembre 2009 6 05 /12 /décembre /2009 12:29
L’action pour l’égalité entre les femmes et les hommes est toujours à l’ordre du jour. La lutte des femmes a permis de déboucher sur un certain nombre de lois pour favoriser l’accès à de nouveaux droits.

Pour autant, nous sommes encore loin de la traduction concrète de ceux-ci dans la réalité. Qu’il s’agisse de celui à l’égalité professionnelle ou à l’égal accès aux fonctions et responsabilités politiques. Les mentalités restent imprégnées d’une vision infériorisée de la femme en lien avec la prégnance de la domination masculine dans tous les aspects de notre société, première responsable des violences dont les femmes sont victimes.

La réforme des collectivités territoriales du gouvernement serait un nouveau coup dur pour la parité entre les femmes et les hommes, elle ne doit pas voir le jour.

L’action de la collectivité régionale peut et doit donc contribuer à mettre en œuvre des moyens pour l’égalité et la conquête de nouveaux droits pour les femmes.

Une responsabilité de l’exécutif régional doit être consacrée à l’action pour l’égalité de genre.

 Deux dispositifs pourraient être mis en place pour aller dans ce sens :

- La signature dans chaque région de la « Charte européenne pour l’égalité des femmes et des hommes dans la vie locale » avec les moyens de sa mise en œuvre. Des plans d’action courant sur les com- pétences de la région devront y contribuer et du personnel attribué à cette fonction précise.
- La création d’un observatoire régional de l’égalité homme- femme.

 Ces deux outils pourraient notamment d’impulser :

- Conditionner les aides aux entreprises à la mise en œuvre dans ces entreprises des lois existantes sur l’égalité professionnelles et notamment le bilan annuel établi avec les représentants des salariées.
- Un partenariat avec les pôles emplois de l’ensemble de la région pour permettre aux femmes de bénéficier de toutes les offres d’emploi sur ce territoire
- Incitation à des plans de formation professionnelle non sexiste pour élargir le champ des professions ouvertes aux femmes
- Une action déterminée pour faire respecter le droit à la maternité choisie en défendant avec les femmes les centres de planification ainsi que les CIVG existant.
- La mise en œuvre d’une communication rendant aux femmes leur visibilité dans la langue et les représentations sur tous les supports provenant de la région.
- La mise en place de dispositifs de prévention pour lutter contre les violences : campagnes de sensibilisation dans les lycées et les services publics dépendant de la région ; création de lieux d’accueil en lien avec les autres collectivités territoriales ; établissements de conventions pour la mise à disposition de logements pour les femmes victimes de violences.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 09:39

Le combat idéologique engagé par 
Nicolas Sarkozy autour de l’identité nationale ne peut être réduit à une simple manœuvre électorale contre la gauche ou politicienne vis-à-vis du Front national.

Au-delà de la conjoncture actuelle, il y a la volonté chez lui de donner de l’ampleur à l’objectif qu’il s’était fixé dès sa prise de pouvoir au sein de l’UMP : rassembler toutes les sensibilités de la droite française autour d’un projet qui refondrait, dans les conditions nouvelles de la mondialisation capitaliste, son efficacité sociale, idéologi­que et politique.


Ce projet que l’on nommera, faute de mieux, libéral-populiste, a l’ambition de sembler sur la longue durée une majorité de notre peuple, particulièrement ses caté­gories populaires, autour des valeurs his­toriquement les plus conservatrices de la droite nationale, en prenant la précaution de les teinter de modernité et d’obtenir la caution de personnalités prétendument de gauche : la fascination pour la réussite individuelle, la valorisation inégalitaire du mérite au sein d’une concurrence définie comme naturelle, l’amour de la famille, de la terre et de la patrie, la passion du patrimoine, de l’argent et de la propriété, les attaques contre la laïcité prônant le retour du religieux comme mode de régu­lation sociale et comme référent symboli­que, la légitimation de l’autorité dans tou­tes les sphères de la société, l’appel à la génétique pour définir les déviances socia­les, sont autant de thèmes travaillés à lon­gueur de discours et dont on aurait tort de sous-estimer l’impact par ces temps où la crise pousse à la perte et à la recomposi­tion des repères.


Face à une aggravation brutale des effets sociaux de la crise du capitalisme mondia­lisé qu’ils savent inéluctable, les tenants du système sont aujourd’hui convaincus que la poursuite de cette domination passe par la reconquête d’une hégémonie cultu­relle et idéologique qui tente de refonder les termes d’un nouveau pacte national et social. Réduire la campagne sur l’identité nationale à un simple électoralisme, c’est s’interdire de voir l’ampleur de l’offensive idéologique, ses contenus comme son ambition : accompagner et permettre l’ac­tuelle déréglementation sociale générali­sée et l’attaque frontale contre la démocra­tie à tous les échelons.


L’identité nationale est un concept dange­reux parce qu’il renvoie à une vision figée, linéaire, consensuelle de la nation française. Il n’y a pas d’identité collective homogène, mais des traits identitaires, des formes d’appartenance et de référence symboliques à une histoire elle-même complexe et par certains aspects contra­dictoire. Pour s’en tenir à la seule dimen­sion politique de ces représentations, celles-ci se sont construites en France depuis la Révolution française autour des combats émancipateurs symboliquement définis par la devise républicaine, liberté, égalité, fraternité, actualisées à chaque étape d’une histoire contradictoire qui a opposé les acteurs de la Commune, du Front populaire, de la Résistance, de la solidarité internationale, de Mai 68 à une droite majoritairement belliciste et colo­nialiste, pétainiste et collaborationniste, anticommuniste et antisociale.


C’est dans ce contexte que s’est également construit notre rapport à l’immigration, à laquelle le patronat français a largement fait appel pour des raisons purement éco­nomiques et démographiques. Là aussi, le mouvement ouvrier, particulièrement au siècle dernier, a opposé à cette logique le droit du sol, le syndicalisme unique, l’uni­versalité de ses valeurs et une intégration politique. Certes, ce modèle était culturel­lement assimilationniste et sa crise ren­voie non seulement à la mutation radicale des modes de production, mais aussi à une aspiration des migrants d’aujourd’hui à faire vivre la diversité culturelle dont ils sont porteurs, parfois même de la pire des manières, le communautarisme. À nous de leur proposer d’inventer ensemble, contre la politique d’exclusion Sarkozy-Besson, un nouveau modèle fondé tout à la fois sur la libre circulation des individus, sur l’égalité des droits, sur le refus de toute discrimination, le respect de l’altérité culturelle tout en favorisant l’échange, le métissage et les combats communs.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 09:26

Les 18 et 19 et 20 novembre, les communistes ont été consultés sur la stratégie pour les élections régionales de 2010. En Ile de France, comme dans la très grande majorité des autres régions françaises, le choix est clair et sans ambiguïté : un Front de Gauche Elargie à l'ensemble du monde syndical et associatif et à l'ensemble des forces politiques qui se retrouvent sur nos valeurs.

Le Front de Gauche est aujourd'hui constitué du PCF, du Parti de Gauche et de Gauche Unitaire (issu du NPA). Les discussions se poursuivent avec d'autres forces et mouvements (FASE, les Alternatifs, République et Socialisme, le M'PEP). Le NPA s'est retiré des discussions sur un constat de désaccord concernant l'éventuelle participation à des exécutifs dirrigés par le PS et/ou les Verts.

 Voici les résultats pour l'Ile de France et pour Choisy le Roi. Les résultats nationaux sont disponibles sur le site du PCF.

ILE-DE-FRANCE
- Inscrits : 14 265 Votants : 7 740 (54,26%) Blancs et nuls : 203 Exprimés : 7 537
- Liste Front de gauche élargi : 6 711 (89,04 %)
- Liste présentée et conduite par le PCF : 719 (9,54 %)
- Union dès le 1er tour avec la liste conduite par le PS : 107 (1,42 %)


Choisy le roi :
-
 Inscrits : 94  Votants : 68 (72.34%) Blancs et nuls : 3 Exprimés : 55
- Liste Front de gauche élargi : 55 (84,62 %)
- Liste présentée et conduite par le PCF : 10 (15,38 %)
- Union dès le 1er tour avec la liste conduite par le PS : 0 (0 %)

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 08:46

Extrait d'un article paru dans l'Humanité, le 16 novembre

Hier, à La Plaine-Saint-Denis, les quelque quatre cents délégués franciliens ont décidé, à la quasi-unanimité (moins cinq voix contre et onze abstentions), de se prononcer pour « une liste du Front de gauche élargi » aux élections régionales, ouverte aux acteurs sociaux et politiques. Ils proposent que « la tête de liste soit issue du PCF dans une campagne collective et à plusieurs voix ». Pour les communistes, un constat s’impose  : « Si la gauche a tenté de répondre aux défis de l’Ile-de-France, elle n’est pas parvenue à enrayer le creusement des inégalités », faute « d’une gestion de lutte participative s’appuyant sur les forces vives des régions », a argumenté Michel Laurent, secrétaire du comité régional du PCF. D’où la proposition de « faire bouger les lignes » à gauche « en étant présents à part entière dès le premier tour et en faisant s’exprimer les citoyens ».

Un débat articulé à celui sur la désignation du chef de file des candidats communistes. « Nous voulons créer une dynamique de rassemblement de toutes les forces qui cherchent une issue politique à gauche. C’est avec cette ambition que je suis moi-même disponible », a déclaré Pierre Laurent (Paris), coordinateur national du PCF. Également candidat, le député de Seine-Saint-Denis, Patrick Braouezec, a fait valoir que « le choix de la tête de liste n’est pas neutre pour bâtir un Front de gauche plus large qu’un cartel d’organisations ». Certains ont exprimé leur préférence pour une « personnalité connue et reconnue » comme Patrick Braouezec, d’autres pour une candidature identifiée à « l’apport des communistes » dans la campagne commune, comme Pierre Laurent. Mais, dans l’ensemble, les délégués franciliens ont préféré reporter cette décision à une conférence ultérieure, le 14 décembre, suivie d’un vote de tous les militants, les 17 et 18 décembre. « Construire un front nécessite de discuter des têtes de liste avec nos partenaires à partir de critères. Donnons-nous le temps d’en débattre », a plaidé Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF, pour qui « rien n’empêche de démarrer la campagne » dès la stratégie ratifiée par les communistes. Première décision d’action  : l’appel au rassemblement, le 24 novembre, à 18 h 30, devant l’Assemblée nationale, pour s’opposer au projet de Grand Paris porté par la droite.

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