26 février 2010
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09:00
Partager les richesses et Imposer
l’égalité des droits
Aujourd’hui, les classes populaires payent les conséquences de la crise. les salaires et les pensions stagnent, les profits, eux, explosent. En 2010, près d’un million de chômeurs se retrouveront en fin de droits, dont 400 000 sans aucune indemnité. Les conditions de travail, de transport et de logement sont devenues insupportables. Il est urgent de changer les choses.
Avec la droite, c’est toujours plus de concurrence et plus d’injustices !
Pour l’UMP, la priorité est de poursuivre et d’amplifier la politique qu’elle mène depuis plusieurs années : privilégier les intérêts des financiers et des puissants, imposer la concurrence généralisée, démanteler les services publics. Aujourd’hui, elle remet en cause la retraite à 60 ans !
Et Valérie Pécresse voudrait relayer cette politique à l’échelle de l’Îe-de-France. Son projet de « Grand Paris »,
vise à accroître les inégalités entre territoires en favorisant quelques pôles de développement économique au détriment des besoins de la population.
Pour faire face, une gauche déterminée et combative !
Notre liste est celle d’une gauche unie, aussi fidèle aux intérêts de la population que la droite est dévouée aux patrons. Une gauche 100 % du côté des mobilisations. Une gauche qui ne recule pas sur la retraite à 60 ans, qui refuse de s’allier avec le Modem. Une gauche déterminée à mettre en oeuvre une politique de rupture avec le libéralisme, à se confronter aux intérêts des puissants et des privilégiés. C’est l’objectif que portent aujourd’hui le Front de gauche et les
listes « Ensemble pour des régions à gauche solidaires, écologiques et citoyennes ».
Nous imposerons des mesures d’urgence
> Une zone unique tarifaire sur toute l’Île-de-France, au tarif de la zone 1-2.
> La priorité à la construction massive de logements sociaux.
La suspension des aides financières aux communes qui ne respectent pas la loi SRU : un minimum de 20 % de
logements sociaux par ville.
> Les financements publics aux services publics : pour les lycées, pour la formation professionnelle,
pour les hôpitaux et les centres IVG que le gouvernement veut fermer.
Notre liste donnera la priorité aux besoins sociaux et écologiques de la population
Aujourd’hui, les classes populaires payent les conséquences de la crise. les salaires et les pensions stagnent, les profits, eux, explosent. En 2010, près d’un million de chômeurs se retrouveront en fin de droits, dont 400 000 sans aucune indemnité. Les conditions de travail, de transport et de logement sont devenues insupportables. Il est urgent de changer les choses.
Avec la droite, c’est toujours plus de concurrence et plus d’injustices !
Pour l’UMP, la priorité est de poursuivre et d’amplifier la politique qu’elle mène depuis plusieurs années : privilégier les intérêts des financiers et des puissants, imposer la concurrence généralisée, démanteler les services publics. Aujourd’hui, elle remet en cause la retraite à 60 ans !
Et Valérie Pécresse voudrait relayer cette politique à l’échelle de l’Îe-de-France. Son projet de « Grand Paris »,
vise à accroître les inégalités entre territoires en favorisant quelques pôles de développement économique au détriment des besoins de la population.
Pour faire face, une gauche déterminée et combative !
Notre liste est celle d’une gauche unie, aussi fidèle aux intérêts de la population que la droite est dévouée aux patrons. Une gauche 100 % du côté des mobilisations. Une gauche qui ne recule pas sur la retraite à 60 ans, qui refuse de s’allier avec le Modem. Une gauche déterminée à mettre en oeuvre une politique de rupture avec le libéralisme, à se confronter aux intérêts des puissants et des privilégiés. C’est l’objectif que portent aujourd’hui le Front de gauche et les
listes « Ensemble pour des régions à gauche solidaires, écologiques et citoyennes ».
Nous imposerons des mesures d’urgence
> Une zone unique tarifaire sur toute l’Île-de-France, au tarif de la zone 1-2.
> La priorité à la construction massive de logements sociaux.
La suspension des aides financières aux communes qui ne respectent pas la loi SRU : un minimum de 20 % de
logements sociaux par ville.
> Les financements publics aux services publics : pour les lycées, pour la formation professionnelle,
pour les hôpitaux et les centres IVG que le gouvernement veut fermer.
Notre liste donnera la priorité aux besoins sociaux et écologiques de la population